La taqiya, autrefois, c’était simple.
Tu cachais ta foi pour ne pas mourir.
Aujourd’hui, on cache la vérité… pour faire mourir l’autre.
Le principe religieux est devenu un outil marketing.
Bienvenue dans l’islam 2.0, version propagande.
Le Hamas l’a compris : il vaut mieux manier une caméra qu’un fusil.
Une image d’enfant qui pleure vaut mille roquettes.
Et surtout… ça fait pleurer les subventions.
On appelle ça Paliwood.
Un grand studio à ciel ouvert,
où les morts rejouent leur rôle,
et où les journalistes occidentaux tiennent le rôle de figurants bénévoles.
Le maître du scénario ?
Un certain Joseph Goebbels avait déjà donné la recette :
“Plus le mensonge est gros, plus il a de chances d’être cru.”
Le Hamas n’a rien inventé.
Il a juste ajouté des filtres et des sous-titres.
Sous prétexte d’humanisme, on efface les tunnels,
on cache les armes sous les hôpitaux,
et on pleure devant la caméra.
Tuer derrière un bouclier,
pleurer devant le monde.
Génie du cynisme.
Les bombes d’images détruisent plus de vérités
que les bombes réelles ne détruisent de murs.
Et pendant que le monde pleure sur TikTok,
le Hamas compte les vues… pas les morts.
La taqiya du XXIᵉ siècle est une réussite.
Un mensonge sanctifié, un spectacle mondial.
Et si, finalement,
le plus grand crime n’était plus de tuer un homme…
mais de tuer la vérité ?



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